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Mes écrits, mes envies
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21 juin 2005

Solitude

Tu m'accompagnes en ces jours de peine,
Et provoque en mon coeur une sourde douleur,
Tu guides mes pas apres ces histoires vaines,
Et anéantis ma vie désormais sans valeur,

Que faudra -t il pour que tu m'abandonnes?
Triste compagne de tant de malheurs,
Attendrais tu que le glas sonne?
Que dans l'aurore résonne les pleurs?

Tu puises tes forces de mon amour,
Qui autrefois remplissait mon être,
parasite récurrent de mon âme sans secours,
Tu distilles tes effluves sans jamais paraître,

Agissant dans l'ombre de ma conscience,
Lors de mes vides et terribles absences,
Tu deviens ces quelques heures le sens,
Triste solitude de mes si nombreuses transes.

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Commentaires
C
Arrivé un soir sur mon écran<br /> l'oreille attentive et alerte<br /> exprimant tes pensées tes sentiments<br /> xylophoniste de la vie<br /> analysant mes mots et mes maux<br /> noyé dans ce flot d'internautes<br /> de tous tu t'es distingué et <br /> retrouvé dans mes idées<br /> en quelques mois notre amitié est née<br /> elle pourra nous aider à <br /> traverser notre vie..nos vies qui se sont croisées<br /> à trouver des réponses à nos questions nos secrets<br /> réagir ensemble à ce qui nous fait vibrer<br /> invitant nos esprits <br /> à se mélanger<br /> naturellement <br /> et simplement<br /> <br /> signé "une partageuse de poésie..."
A
je te rejoins sur ce point.<br /> <br /> on est tellement secoué que tout ce qui est en dehors de notre propre souffrance devient futile.<br /> <br /> pourtant meme si la douleur est là, elle ne devrait pas nous rendre aussi indifferent au monde proche qui nous entoure et qui reste le seul a pouvoir nous soutenir vraiment.<br /> <br /> Et pourtant nous nous jetons a corps perdu vers ce qui nous a fait tant de mal et rendu si souffrant.<br /> <br /> ainsi va la vie, ainsi vont les sentiments...
A
Je dirais plutôt le non-sens. Dans ces moments-là, tout ce qui fait ma vie (je palre pour moi parce que je ne sais pas si c'est une généralité), mes proches, mes passions, mes études, mon travail, tout me paraît si loin, si irréel et insignifiant.<br /> <br /> Alors qu'il n'y a rien de plus important. <br /> <br /> La solitude rend aveugle le coeur, comme quand on reste trop longtemps dans le noir et que l'on perd la vue...
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